Derrière une marque de bijoux à l’allure si assumée, aux photos si léchées, à l’univers si évident… se cache en réalité une créatrice en proie aux questions et aux tâtonnements.
Mais tout vient à point à qui sait attendre, la créatrice de Blossom Bohemian, en est l’exemple parfait. Et la persévérance paie.
Diane nous raconte ses questionnements, ses envies de mieux, de plus, son parcours peu banal pour arriver à retranscrire dans le métal les ornements qu’elle a en tête.
Une fille inspirée et inspirante. Tout comme ses bijoux 🙂
Je profite de l’occasion du lancement des premières formations aux techniques de base de la bijouterie (d’ailleurs si vous êtes interessé(e), c’est par ici ou bien cliquez sur l’onglet “formations” du menu !) pour vous proposer un petit défi / challenge pour la motivation des troupes.
Dans la continuité du dernier article sur les premiers pas dans le domaine de la bijouterie, parlons aujourd’hui équipement, et plus particulièrement établi de bijoutier.
Maintenant que l’on a une idée des créations que l’on veut réaliser, des techniques que l’on veut acquérir pour cela, et de la façon dont on va se former : il ne reste plus qu’à se trouver un “petit coin” pour le faire ! Ou même un grand, qui sait ?
Nous allons donc nous pencher sur l’établi. Ou du moins, ce qui vous servira d’établi. Ce meuble si important aux yeux des bijoutiers, cet espace de création tant rêvé.
Dans cet article nous allons parler de l’aménagement de cet espace, sans toutefois détailler encore l’outillage dont vous l’agrémenterez par la suite. Uniquement, l’espace de travail. Je ne vous conseille pas de brûler les étapes et d’investir d’ores et déjà dans de l’outillage, mais si vous souhaitez vous familiariser avec l’équipement qui sera probablement le vôtre bientôt, vous avez cet article et cette vidéo qui peuvent vous être utiles !
Nous allons voir qu’à ce stade, il n’est pas nécessaire d’investir des centaines d’euros pour se constituer un établi de compétition. Cependant il y a certaines choses essentielles à savoir et à avoir pour bien débuter dans la création de bijoux
Les vacances touchent à leur fin. Les jolis souvenirs resteront bientôt dans les (cartes) mémoires…
Pourquoi ne pas en garder un près de soi ? Mon fils a ramassé quelques coquillages l’autre jour sur la plage, et m’a gentiment demandé si je pouvais lui en faire un bijou (mode “yeux de cocker” : ON).
Continuons cette série d’articles légerspour l’été avec ce que les Youtubeurs appellent une “Storytime” (que je pourrais très bien sous-titrer : “j’ai testé et me suis vautrée pour vous”)
J’ai un peu hésité à vous mentionner cette anecdote car il s’agit en fait d’un bel échec. Et ça m’en coûte un peu d’en parler, forcément.
Mais d’un autre côté, ce serait vous mentir que de vous dire que tout m’a toujours réussi, dès la première fois, sans jamais trouver d’embûches sur mon chemin. Et puis si mes erreurs peuvent servir à d’autres…
Du coup c’est l’été, il y a moins de monde qui passe par là (visiblement, c’est faux, mais bon c’est ce que j’aime croire). Et puis l’histoire que je vais vous conter aujourd’hui est quand même très drôle. Exit les “success story”, je m’en vais vous raconter mes “échecs stories” – oui, il y en a d’autres, c’est pas la seule.
Alors c’est parti ! Il était une fois, une créatrice de bijoux qui avait eu l’idée du siècle : lancer une gamme pour chiens…
Ah ah ah… la vie de créatrice de bijoux ! Cette vie, on la fantasme, on l’envisage. On s’imagine un monde merveilleux fait de passionnés, de clients heureux, de succès, d’épanouissement, de petites perles qui ne se perdent jamais…
Et pourtant.
Désolée, mais la vraie vie, elle est dans ce qui suit !
Allez, un peu de légèreté dans cette période estivale, ça ne nous fera pas de mal 🙂
Que celui ou celle qui ne se reconnaîtrait pas dans l’une ou l’autre de ces situations me jette la première pierre !
Les créations de Gaïa font partie de ces bijoux que j’ai toujours rêvé de faire. Son univers graphique, cohérent, homogène, reflet de sa précédente vie de graphiste, font la force de sa marque, Les Tatillonnes.
Elle est une jeune femme déterminée, pleine de pep’s et d’idées, fraîche et drôle. On aurait l’impression, vu comme ça, d’un parcours facile, évident.
Et pourtant, dans cet entrevue avec Gaïa, vous verrez que derrière des créations léchées, aux finitions parfaites se cache parfois une créatrice formée en autodidacte, parfois en proie aux aléas de la vie (et des fournisseurs), aux mains souvent sales mais au caractère fonceur.
Je vous laisse déguster cette rencontre avec la généreuse Gaïa 🙂
Vous est-il arrivé – à vous ou à une cliente – d’avoir des démangeaisons au niveau du trou de l’oreille lorsque vous enfilez une paire de boucles ? Des doigts noircis, le cou verdâtre ? Une rougeur sous une bague ?
Ne tirez-pas de conclusions trop hâtives : ces symptômes ne veulent pas forcément dire que vous (ou votre cliente) êtes allergique, d’autant plus si vos bijoux sont en or ou en argent.
Il est d’usage de dire que “l’or et l’argent sont des métaux anallergènes, ils ne peuvent donc pas causer d’allergies”. Là encore, méfiance : c’est le cas de l’or ou de l’argent pur. Mais sont-ils si fréquents en bijouterie ? La différence est bien plus subtile…
En tant que créateur/trice de bijoux, surtout en fantaisie, vous verrez que cette question revient souvent. Et si cette question vous importe peu, vos clientes auront tôt fait de vous la faire considérer !
Voici donc quelques éléments à savoir pour choisir correctement son type de métal, et donc de bijoux.
Michel Zimmermann. Son nom doit forcément vous dire quelque chose. Si vous êtes bijoutier, joaillier, créateur ou simple passionné par le monde de la bijouterie-joaillerie, alors vous avez très certainement dû croiser son chemin, au moins virtuellement.