Jour 25
En matière de collier, je trouve qui rien n’égale un plastron. Cela met tellement en valeur un décolleté ! Pas besoin d’en faire des tonnes, d’avoir un bijou trop imposant. Si l’on veut rester discrète mais bien accessoirisée, rien de tel qu’un collier plastron qui attire l’oeil sans tomber dans le vulgaire.
J’ai donc jeté mon dévolu sur un modèle moderne, et qui fait écho aux boucles d’oreilles du même style.
L’autre avantage, c’est qu’il ne nécessite pas beaucoup de matériel. Mais pas si facile à souder…
Techniques utilisées
Un tube et une plaque aux bonnes proportions, et c’est tout !

Première étape : trouver la bonne courbure pour que le collier tombe juste sous la clavicule sans être trop arrondi ou trop plat.
Je me suis donc aidée d’un gabarit dessiné au compas.

Une fois le tube bien ajusté, taillé à la bonne dimension, je l’ai tout simplement calqué sur ma plaque à l’aide d’une pointe à carbure. Tout n’est que géométrie !
C’est alors qu’une hésitation me vient : est-ce que je le texture comme les boucles Lunes, ou est-ce que je le garde bien lisse et bien poli ?
Et bien testons les 2 !

J’ai choisi : le plastron restera lisse et poli (je regretterai mon choix plus tard…)
Me voilà donc à souder la plaque sur le tube et… attention la galère ! Ma soudure filait partout, du mauvais côté de la plaque, car toute l’arrête de ma plaque n’était pas en contact avec le tube. De quoi m’arracher les cheveux !
Au final, j’ai opté pour un soudage plus en arrière (et finalement tout aussi joli au rendu)

Difficultés rencontrées
C’est là que ça se corse : effacer les traces de brasures (bonjour la lime / le cabron / l’émeri fin / et les 3 pâtes à polir) pour obtenir une finition totalement lisse et un poli miroir…
Ah, c’est joli le poli miroir… mais quelle galère pour y parvenir. Il y a toujours une rayure de lime ou d’émeri qui résiste. Et l’oeil de l’appareil photo est PIRE que le mien, qui parfois sélectionne ce qu’il veut bien voir. Avec un APN, y a pas de cachotteries !
Bon, autant vous dire que j’ai bien sélectionné mes photos et optimisé les angles de vue qui ne laissent pas apercevoir les rayures…
Ma conclusion / retour d’expérience
Je crois que je vais lancer une série d’articles “comment prendre en photo mes bijoux ratés sans que ça se voit” ?
Ah ah, et pourquoi pas ?
Plus sérieusement, on verra après plaquage or, qui parfois améliore le rendu. C’est pas si pire, comme dirait l’autre, mais à refaire, quelque chose me dit que j’opterais plutôt pour la surface granuleuse…
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